Rosenfeld est un chanteur qui mélange les genres pop, électro et R&B. Il a commencé à produire de la musique sérieusement depuis qu’un label l’a repéré en 2020. Actuellement, il cumule plus de 1,5 million d’écoutes par mois sur Spotify et sa popularité ne cesse de croître.
La prise de vue photographique du concert s’est déroulée sous la contrainte de 3 chansons, et les photos ont été prises uniquement depuis le balcon.
Le jeu de lumière a été d’une grande aide pour la prise de photos, permettant de mettre en avant le musicien et de créer une entrée en scène électrique qui a enchanté les spectateurs.
Grâce à cette lumière, je n’ai pas eu besoin de réduire la qualité des photos en utilisant des ISO élevés ou en recourant à mon flash, ce qui, je le rappelle, n’est pas conseillé, voire illégal dans certaines salles.
J’avais la restriction de trois chansons pour capturer l’essence du spectacle. Les premières chansons étaient assez classiques, avec une énergie stable qui m’a permis de m’acclimater à la scène et aux conditions de lumière. Mais le reste du concert a été une véritable explosion de créativité, avec un changement de quatre tenues pour l’artiste, chacune apportant une nouvelle dynamique visuelle.
L’un des moments forts a été une reprise live d’un morceau, qui a ajouté une touche unique et imprévisible au show.
Chaque tenue et chaque mouvement étaient une nouvelle opportunité pour capturer l’essence de la performance, rendant chaque cliché authentique et profondément lié à l’énergie du moment.
Ce fut un exercice assez difficile, car nous étions placés sur le balcon, une zone éloignée de la scène.
Mon matériel, composé de focales courtes, ne m’a pas permis de prendre des photos assez détaillées comme si j’avais été dans la fosse.
Lors de l’édition, j’ai dû recadrer toutes les photos pour les centrer sur le musicien.
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